L’ Albatros
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent indolents compagnons de voyage,
La navire glissant sur les gouffres amers.
À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroites et honteux,
Laissent pitieusement leurs grandes ailes blanches
Come des avirons traîner à côté d’eux.
. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui naguère si beau, qu’il est comique et laid!
L’un agace son bec avec une brûle gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empéchent de marcher.
Nu am stat treaza pana la ora asta ca sa comentez poezii online. Nu vreau sa fac literatura si, oricum, unii dintre voi stiu (si daca nu stiu vor afla si fara ajutor) ce vor sa spuna de fapt versurile de mai sus.
Si daca nu de dragul literaturii, atunci ce mi-a venit sa postez poezii la 2 noaptea? Nu sunt sigura. Poate ca m-a lovit subit mila de animale (pe mine, cea care le iubeste mult dar ... de la distanta). Si azi, un suflet mic si necajit mi-a amintit de ce imi plac totusi animalele ... Pentru ca ele inteleg viata si moartea altfel de cat noi, poate chiar mai bine decat noi si simt cand vine timpul sa isi ia la revedere ...
